L’usine d’eau potable de Cahors
3 mois après la pose de la 1ère pierre de l’UFE (Unité d’ultrafiltration de l’eau), le chantier pour doter le territoire d’une infrastructure garantissant une eau sans turbidité progresse régulièrement.
Selon l’article de Medialot, Claire Raulin, préfète du Lot, Jean-Luc Marx, maire de Cahors et président Grand Cahors, Serge Rigal, ont pu constater que les travaux progressent à un rythme soutenu lors de leur visite du chantier
« Les grues et autres infrastructures mobiles, visibles depuis la rocade, mais aussi depuis la ville, rendent perceptibles l’ampleur du chantier en cours. Sur la partie haute du plateau du Pech d’Angély, les différentes plateformes se dessinent et permettent de visualiser le contour des futurs aménagements : d’une part, le bâtiment, dont l’architecture a été conçue par le cabinet Montal Mestiri Architectes, et d’autre part, les premiers ouvrages hydrauliques, dont l’achèvement est prévu pour le printemps.
Les terrassements représentent une emprise de 3 500 m3, épousant, pour une meilleure intégration, la pente naturelle du terrain. Dans la partie basse, au droit du quai Cappus, le chantier progresse tout autant. Un nouveau local électrique et technique est en construction.
Les horaires de chantier ont été adaptés pour minimiser l’impact des perturbations sur la circulation des automobilistes. Ainsi aux heures de pointe, le quai est ouvert à la circulation, sans perturbation.
A noter que les précautions de balisage ont été prises en amont pour limiter l’impact du bruit, des vibrations et de la poussière sur la faune; les gîtes en faveur du lézard ocellé ont été créés, et le calendrier de chantier a été adapté selon les périodes d’hivernation et de reproduction des espèces en place.
Les entreprises locales et régionales engagées dans l’opération assurent la totalité des travaux. Les entreprises Touja (basée dans le Gers), Grenier (46), Eiffage Route (46) et Allez et Cie (46) se répartissent les responsabilités de la conception et de la réalisation des ouvrages hydrauliques, de la construction du bâtiment et des fondations, des terrassements et de la VRD, ainsi que des travaux d’électricité industrielle et tertiaire. Cette forte implication des entreprises locales met en avant leur expertise et leur savoir-faire, démontrant leur capacité à répondre à des chantiers d’envergure. »
La mise en service est programmée pour la rentrée 2026.
