2017 à l’hôpital de Cahors. Janvier et la grippe.

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Marc Hector, directeur du centre hospitalier de Cahors, afin d’éviter les baisses de moyens et la réduction  des effectifs que connaissent nombre d’hôpitaux souhaite augmenter la production ce qui amènera les personnels à travailler davantage. En 2017, le tarif de séjour de l’hôpital va baisser d’1%. Un trou important dans ce qui représente le principal revenu du centre hospitalier, et qui va le contraindre à encore augmenter son activité pour conserver les mêmes moyens, avec des effectifs identiques. L’organisation du travail est à revoir, pas les emplois. Le centre cadurcien devient support des autres établissements du Lot que sont Figeac, Gramat, Gourdon et Saint-Céré. Une meilleure coopération entre établissements devra être appliquée pour relever le défi du regroupement. «Il faudra sortir des petites guéguerres pour travailler ensemble» demande Marc Hector.

Un des plus gros employeurs du département

Le centre hospitalier de Cahors compte 1150 salariés, dont une centaine de médecins et une trentaine d’internes. 200 étudiants s’ajoutent à ce total, répartis entre Cahors et Figeac. Il dispose de 360 lits et son budget est de 80 millions d’euros. L’hôpital est un des plus gros employeurs du Lot, derrière le conseil départemental (1 300 salariés) et l’entreprise Ratier-Figeac (1 244 salariés).

d’après Mathieu Fontaine La Dépêche
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Les régions et l’épidémie de grippe

Selon le réseau Sentinelles, en quatre semaines d’épidémie, au plan national, ce sont 784 000 personnes qui ont consulté un médecin généraliste pour ce motif, précise le communiqué. 0,7% des cas recensés ont nécessité une hospitalisation.Les régions les plus touchées par la grippe sont Auvergne-Rhône-Alpes (avec 597 cas pour 100 000 habitants), Provence-Alpes-Côte-d’Azur (541), et Ile-de-France (451). Le seuil épidémique est à 179 cas pour 100 000 habitants. Le Lot est à 250 cas.
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Grande Bretagne: le système de santé publique « au bord de la rupture

La Croix-Rouge décrit une « crise humanitaire », les médecins déplorent des conditions dignes du « tiers monde »: le système de santé public NHS, fierté britannique depuis 1948, traverse une crise inédite cet hiver qui commence à rattraper la Première ministre Theresa May.

La photo a fait le tour des réseaux sociaux et la Une du quotidien Daily Mirror. Elle montre le petit Jack, 22 mois, seulement vêtu d’une couche. Faute de lit, il dort sur une couverture posée sur deux chaises en plastique rouge. Malgré une suspicion de méningite, Jack a attendu cinq heures aux urgences avant de voir un médecin.

La Dépêche