Agroforesterie au cœur du vignoble
Des alisiers, cormiers, érables, aubépines, charmes, noisetiers, pistachiers, poiriers, figuiers… Avec en périphérie de ces plantations, un large plan d’eau disponible pour la flore et la faune.
C’est la réalisation de Troteligotte.
Printemps 2021 : nous commençons l’agroforesterie au Clos Troteligotte. Il s’agit pour nous de réintroduire l’arbre, le fruitier, l’arbuste et la plante (aromatiques et utiles à la biodynamie) au sein même de nos parcelles de vigne. Nous débutons par des haies, autour et entre les parcelles, ainsi qu’à la jonction de la forêt environnante et de la vigne, sous forme de pergola.
Deux ans plus tard, nous plantons un hectare de vignes entièrement en agroforesterie et en pergola, autrement dit l’arbre et la vigne sont plantés en même temps et grandissent de concert. Au début, la vigne poussera en échalas. Puis elle s’enroulera autour de l’arbre et de ses branches, quand ce dernier aura bien poussé. Les arbres seront en partie taillés en trogne, et le travail du sol se fera à cheval. Facteur de biodiversité, régulateur de température (ombrage), puits de carbone, effet brise-vent, pompe à nutriments et à eau grâce aux racines et aux mycorhizes, l’arbre revêt bien des avantages.
Chez Troteligotte, les vignes sont depuis toujours entourées de bois et d’arbres. Mais il en manquait à l’intérieur même du champ de vignes. Prenons l’exemple de la chauve-souris qui est un prédateur du papillon à l’origine du ver de grappe, un ravageur de la vigne. La chauve-souris a besoin d’ « écotones » (zone de transition écologique entre deux écosystèmes, entre deux bois par exemple) pour s’installer. Les arbres dans la vigne jouent le rôle d’écotone. La chauve-souris peut ainsi se nicher dans les haies ou les arbres qu’elle trouve sur son passage, et ensuite venir manger les papillons, ou bien la cicadelle, autre insecte dévastateur pour la vigne. En tant que point d’étape, l’arbre est ainsi un véritable refuge pour les prédateurs des ravageurs de la vigne. , les vignes sont depuis toujours entourées de bois et d’arbres. Mais il en manquait à l’intérieur même du champ de vignes. Prenons l’exemple de la chauve-souris qui est un prédateur du papillon à l’origine du ver de grappe, un ravageur de la vigne. La chauve-souris a besoin d’ « écotones » (zone de transition écologique entre deux écosystèmes, entre deux bois par exemple) pour s’installer. Les arbres dans la vigne jouent le rôle d’écotone. La chauve-souris peut ainsi se nicher dans les haies ou les arbres qu’elle trouve sur son passage, et ensuite venir manger les papillons, ou bien la cicadelle, autre insecte dévastateur pour la vigne. En tant que point d’étape, l’arbre est ainsi un véritable refuge pour les prédateurs des ravageurs de la vigne. , les vignes sont depuis toujours entourées de bois et d’arbres. Mais il en manquait à l’intérieur même du champ de vignes. Prenons l’exemple de la chauve-souris qui est un prédateur du papillon à l’origine du ver de grappe, un ravageur de la vigne. La chauve-souris a besoin d’ « écotones » (zone de transition écologique entre deux écosystèmes, entre deux bois par exemple) pour s’installer. Les arbres dans la vigne jouent le rôle d’écotone. La chauve-souris peut ainsi se nicher dans les haies ou les arbres qu’elle trouve sur son passage, et ensuite venir manger les papillons, ou bien la cicadelle, autre insecte dévastateur pour la vigne. En tant que point d’étape, l’arbre est ainsi un véritable refuge pour les prédateurs des ravageurs de la vigne.
Balades dans les vignes tous les samedis de l’été