Bal franco-portugais
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L’association franco-portugaise de Puy l’Evêque organise un bal repas le samedi 17 février à 20 heures dans la salle des fêtes. On sait que nombre de nos concitoyens sont d’origine portugaise et souhaitent conserver des attaches avec le pays de leurs ancêtres (et souvent pour les plus anciens le pays qui les a vus naître). Le président de l’association Delfin Teixeira, qui a déjà organisé plusieurs manifestations du même type a prévu un repas typique : un verre de favadis en apéritif, une soupe morue à bras, dessert, vin et café inclus. Tarif : 19 € enfant de moins de 10 ans : 12 €. Le bal sera animé par Jorge Beirao et Miguel. Réservations au 06 84 61 45 59 ou 06 70 93 18 32. On se souvient que des échanges sur les bords du Lot avec les lusitaniens (pompiers, musiciens, footballeurs…)ont déjà, dans un climat de franche amitié, rapproché les deux communautés.
Après quelques années de mise en sommeil,l’association d’amitié franco-portugaise de Puy l’Evêque a repris ses activités. Déjà des liens se sont formés avec le jumelage des centres de secours de la commune lusitanienne de Nellas,jumelage qui s’est traduit par plusieurs échanges. Le samedi 17 février,à l’initiative de Delfin Teixeira,l’association a organisé dans la salle des fêtes un repas portugais suivi d’un bal animé par le duo montalbanais Jorge Barrao et Miguel. 170 convives ont pu déguster le fameux «bacalao»(brandade de morue) concocté par Carvalho et Helena;si l’assistance comptait de nombreuses personnes d’origine portugaise(certaines présentes dans la région depuis plus de cinquante ans),on a pu remarquer de nombreux Français de souche et des couples mixtes franco-portugais(avec leurs enfants),preuve de l’excellente intégration internationale. Tous les dimanches matin de 9h à 12h,on peut écouter une émission portugaise sur la chaîne Antenne d’Oc(88.8). Quant à la prochaine manifestation de l’association,elle doit se situer au mois de mai avec la venue d’une équipe de football portugaise à Puy l’Evêque;encore un moment festif en perspective.
La Dépêche du Midi