Conférence sur L’impact des énergies renouvelables sur le patrimoine
L’Association pour la sauvegarde des maisons et paysages du Quercy (ASMPQ) fête son cinquantième anniversaire. Pour l’occasion, ses membres ont décidé d’inviter Alexandre Gady, professeur d’histoire de l’art à la Sorbonne. Il donnera samedi 30 octobre une conférence publique intitulée « Protéger le patrimoine. L’État, les élus et les associations. Bilan et perspectives. »
« Comme nous, Alexandre Gady s’intéresse à la fois au patrimoine bâti et au paysage. Nous l’avons invité pour qu’il nous parle des enjeux et moyens actuels de la protection du patrimoine pour les différents acteurs : Etat, élus et associations. En tant que président d’honneur de la Société pour la protection des paysages et de l’esthétique de la France (SPPEF), il a une vision nationale et une connaissance très large sur ce sujet. De plus, il a des attaches dans le Lot », explique Olivier Prételat, le président de l’ASMPQ.
S’il laisse planer le suspense sur la teneur plus détaillée de la conférence, il y a fort à parier que les installations d’énergies renouvelables seront au cœur des débats. « Leur impact est l’enjeu le plus important actuellement. C’est ce qui va modifier le plus profondément les paysages », avance Olivier Prételat. « Nous savons qu’Alexandre Gady est très opposé à l’éolien mais cela ne nous dérange pas. Nous ne sommes pas opposés par principe, mais nous n’y sommes pas non plus favorables dans notre région en raison de la taille des éoliennes. De même pour le photovoltaïque. Pour l’heure, tous les parcs dans le Lot sont de petites tailles et plutôt discrets. Mais des projets de plus grande ampleur sont à l’étude et ce sont à eux qu’il faut être vigilant ». En 2020, l’association avait contribué à l’abandon d’un projet de parc éolien au cœur du parc naturel régional des causses du Quercy.
50 ans de combats
Avant l’intervention d’Alexandre Gady, un court-métrage documentaire d’une quinzaine de minutes rassemblant des témoignages d’acteurs de l’association sera projeté. Une carte postale spécialement éditée pour cet anniversaire sera offerte aux participants et un cocktail servi à l’issue de la conférence.
Créée en 1971, l’ASMPQ a cherché depuis ses débuts à sensibiliser les propriétaires de maisons, les élus et les artisans à la mise en valeur du patrimoine bâti et à la préservation des paysages, en collaborant notamment avec les services de l’Etat, le Conseil Général et d’autres associations. Dès 1978, elle est agréée au titre de l’urbanisme et de la loi sur la protection de la nature, puis en 2013 au titre de la protection de l’environnement et habilitée à participer à des instances consultatives. Chaque année, elle organise quatre à cinq sorties sous la conduite de spécialistes, professionnels ou membres de l’association, souvent dans des lieux habituellement non accessibles au public.
Soyons fiers de notre patrimoine éolien français !
À la suite d’attaques violentes et souvent infondées contre la filière éolienne, des élus locaux de toute la France engagés ou impliqués dans des projets éoliens se sont rassemblés autour d’AMORCE pour prendre la parole au travers d’une tribune. Ils y défendent le développement responsable, harmonieux, concerté et participatif des énergies renouvelables, et en particulier de l’éolien, inscrit dans un véritable projet de territoire et dont les bénéfices sont autant environnementaux qu’économiques et sociaux.
[TRIBUNE]Depuis plusieurs semaines, nous assistons à une campagne de dénigrement du développement des énergies renouvelables, et en particulier de l’énergie éolienne, qui choque de nombreux Français et les élus locaux de la République que nous sommes par sa violence, son obscurantisme et son populisme.
Pourtant, la facture énergétique des ménages dépasse les 3000 euros par an, un foyer sur dix est en situation de précarité énergétique, et la facture énergétique de la France à l’international approche les 45 milliards d’euros soit près de 2% du PIB. Sans évolution massive de nos modes de consommation énergétique pour réduire nos émissions de gaz à effet de serre, certains territoires français dépasseront à certaines périodes les 50°C d’ici 2050 avec des conséquences désastreuses sur le quotidien des Français, sur leur santé, leur environnement et leur activité professionnelle. Contribuer à la transition énergétique de la France est un devoir, une fierté et même une chance pour nos territoires et pour notre pays !
Partout, nous, élu(e)s locaux, avec les citoyennes et citoyens, avec les acteurs économiques et associatifs locaux, faisons le choix d’inscrire le pays dans un autre avenir énergétique. Un avenir plus responsable, plus local et moins mondialisé, plus autonome, solidaire et participatif, plus moderne et dynamique en valorisant les richesses énergétiques renouvelables de notre pays plutôt que les énergies du passé, plus respectueux de la planète et donc de nos générations futures.
Car faire le choix de l’énergie renouvelable, et singulièrement celui de l’éolien, c’est d’abord faire le choix d’une ressource énergétique française et non plus importée massivement des quatre coins du globe. C’est faire le choix de l’autonomie énergétique, garante d’une stabilité des prix pour le consommateur, plutôt que de dépendre des marchés mondialisés de l’énergie : du gaz russe, de l’uranium du Niger ou du pétrole de la péninsule arabique, pays souvent instables dont nous dépendons massivement et donc dangereusement aujourd’hui. C’est aussi faire le choix de nouvelles ressources financières pour nos territoires et nous n’avons pas honte de le défendre car nous préférons donner de nouveaux moyens financiers à nos services publics, à nos entreprises locales et à nos populations, plutôt que d’enrichir d’autres pays exportateur de pétrole, de gaz, de charbon ou d’uranium. Développer les énergies renouvelables, c’est une forme de patriotisme au sens noble du terme, une forme de reconnaissance et de valorisation de la richesse de notre pays, durable et non-délocalisable.
Faire le choix de l’énergie renouvelable c’est aussi faire le choix de la responsabilité sociale et sociétale de chaque territoire, car dans chaque territoire se pose la question de nos choix énergétiques individuels et collectifs. De ce point de vue, il est tellement facile d’être « anti » éolien. Mais il serait temps que les « anti », disent aux Français quelles solutions énergétiques crédibles ils proposent pour permettre à 67 millions de français de se chauffer ou de se déplacer.
Les « anti » souhaitent-ils des éoliennes chez leurs voisins mais pas chez eux ? Ou plutôt des centrales nucléaires chez leur voisins mais pas chez eux ? Ou de grandes turbines au gaz, au fioul ou au charbon chez leurs voisins mais pas chez eux ? Les « anti » défendent-ils plutôt une réduction drastique des consommations d’énergie des Français pour éviter de créer de nouveaux équipements de production d’énergie ? Cela doit être une priorité incontestablement, mais quelles sont leurs propositions concrètes ? Des obligations de rénovation ? Des aides beaucoup plus importantes pour accélérer la rénovation énergétique des logements ? Sans aucun doute, mais alors pourquoi les « anti » ne se battent pas pour ces idées ? Peut-être tout simplement parce qu’avoir une vraie stratégie énergétique oblige à regarder la vérité en face, avec courage et sens des responsabilités, en se demandant non pas « quelles installations de production d’énergie je ne veux pas sur mon territoire », mais « quelles installations énergétiques je souhaite sur mon territoire pour me permettre de me chauffer, de m’éclairer et de me déplacer ».
A moins qu’il ne s’agisse de laisser à d’autres, d’autres territoires, d’autres pays, d’autres générations la responsabilité de trouver des solutions que nous n’osons pas assumer pour nous-mêmes. Plutôt que d’instrumentaliser les interrogations ou les inquiétudes légitimes des riverains autour du développement des énergies renouvelables de manière calomnieuse sur les risques encourus, nous pensons qu’il faut faire évoluer la relation aux énergies renouvelables. Elles ne doivent plus être perçues comme le projet d’un opérateur ou d’une collectivité mais le projet d’une population et d’un territoire.
Nous pensons que l’effort de développement des énergies renouvelables doit être davantage réparti entre les territoires, qui doivent tous faire leur part de l’effort de production d’énergie durable. Nous pensons également que ces projets doivent être impérativement partagés avec les élu(e)s locaux et avec les populations, qui sont parfaitement capables de comprendre que des outils de production d’énergies doivent se développer dans chaque territoire dès lors que chaque habitant consomme de l’énergie.
Chacun de ces projets doit garantir des retombées économiques locales, à la hauteur de l’effort responsable réalisé et en généralisant progressivement la participation des collectivités et des populations au financement de ces installations. Beaucoup de nos concitoyens ont déjà fait ce choix en investissant leurs économies dans des parcs éoliens et solaires. Un nombre croissant de projets est porté directement par des coopératives citoyennes locales qui se réapproprient la question de l’énergie et appréhendent dès lors très différemment les enjeux de sobriété. Nous pensons enfin que le développement des installations de productions d’énergies sera d’autant mieux maîtrisé et accepté lorsque les modes de consommation seront plus efficaces et économes, et que nous utiliserons tous les leviers énergétiques de notre pays : chaleur renouvelable, gaz renouvelable et électricité renouvelable.
Alors oui, dans l’Indre, la Drôme, la Seine-Maritime, le Nord Pas de Calais, le Jura, l’Aveyron, l’Yonne, la Loire Atlantique et dans d’autres départements, nous, élu(e)s locaux ancrés dans près de la moitié des départements français, nous nous engageons en faveur des énergies renouvelables et de l’énergie éolienne. Nous bâtissons des projets conciliant production d’énergie décarbonée, préservation de l’environnement, protection des paysages locaux et de la faune, acceptabilité locale et relance économique. Car si nos territoires sont riches de leur histoire et de leurs paysages, qui font partie de leur identité, ils ont également leur rôle à jouer dans la grande transition du pays. La France a un patrimoine historique majeur qu’il s’agit de préserver et de mettre en valeur. Elle a aussi un patrimoine énergétique qu’il s’agit de valoriser dans l’intérêt des territoires. Chacun doit aujourd’hui prendre ses responsabilités devant l’histoire. L’histoire passée mais aussi celle à venir.
Forts de ces constats, nous réaffirmons aujourd’hui que nous croyons à un développement éolien responsable, partagé, assumé, harmonieux, qui trouve sa juste place dans la vie de nos territoires et de ses habitants. Chez nous, les riverains et les opérateurs économiques s’engagent main dans la main avec les collectivités dans des projets respectueux des paysages et des populations. Transparence, partage, prévention, respect du patrimoine historique et naturel, développement économique local sont les maîtres mots de l’acceptabilité des projets avec des concitoyens qui deviennent plus exigeants, envers eux-mêmes, envers nous, envers les pouvoirs publics.
Arrêtons de braquer les français avec les questions énergétiques ! Responsabilisons-les ! Associons-les ! Arrêtons d’opposer les causes et les enjeux, concilions-les ! Soyons fiers de nos énergies renouvelables, composantes désormais essentielles de l’avenir de nos territoires comme l’ont été, en leur temps, les moulins à eau ou à vent ! Soyons fiers de ce patrimoine énergétique local et national, de cette réponse française aux enjeux énergétiques et climatiques mondiaux, de cette contribution essentielle à l’avenir de nos enfants, de nos petits-enfants et de notre environnement.
La liste des signataires (par ordre alphabétique) :
Martin Appert, maire de Dizy-le-Gros (02) ; Sonia Arèna, conseillère municipale de Vern-sur-Seiche (35) ; Marie Atinault, vice-présidente de la Métropole Rouen-Normandie (76) ; Franck Aubin, maire de Beaupréau-en-Mauges (49) ; Fabrice Aupetit, maire de Beddes (18) ; Jean-Claude Bages, maire de Mercœur (43) ; Ivan Barbier, conseiller municipal de Bellevigne-en-Layon (49) ; Murielle Bataille, maire de Tournoisis (45) ; Bernard Beaucher, maire de Brinay (18) ; Bernadette Beaufort-Michel, maire de Rageade (15) ; Alain Bécard, maire de Quincy-le-Vicomte (21) ; Micheline Bernard, maire de Forges (17) ; Patrick Bisson, maire d’Ineuil (18) ; Thomas Blactot, conseiller municipal d’Armentières (25) ; Gérard Blandin, maire de Lacour-d’Arcenay (21) ; Jean-Marie Blondelle, maire de Guyencourt-Saulcourt (80) ; Grégory Bonnet, maire de Montcel (63) ; Jean-Luc Brahiti, maire de Saint-Jeanvrin (18) ; Aline Bray, maire d’Orée-d’Anjou (49) ; Jean-Paul Buellet, maire de Confrançon (01) ; Michel Burr, maire de Montmorency-Beaufort (10) ; Marc Cagnard, maire de Croissy-sur-Celle (60) ; Jean-Marie Carré, maire de L’Échelle-Saint-Aurin (80) ; Bernard Castanier, maire de Lestrade-et-Thouels (12) ; Claude Celma, maire de Marquaix-Hamelet (80) ; Patrice Champion, maire de Bossus-lès-Rumigny (08) ; Bernard Chaudouet, maire de Choilley-Dardenay (52) ; Philippe Chavroche, maire de Taillis (35) ; Michel Cheymol, maire d’Audes (03) ; Michel Choisy, maire de Rollot (80) ; Philippe Cocheril, adjoint au maire de Saint-Jacques-de-la-Lande (35) ; Guy Colin, maire de Brélès (21) ; Danielle Combeau, maire de Saint-Germain-de-Montbron (16) Eric Cornuaud, maire de La Faye (16) ; Guillaume Coutey, maire de Malaunay (76) ; Pierre Luc Crapier, maire de Pleine-Selve (02) ; Olivier d’Araujo, maire de Prin-Deyrançon (79) ; Valérie Da Silva Ferreira, vice-présidente de Mauges Communauté (49) ; Yvonnick David, adjoint au maire de Corps-Nuds (35) ; Olivier Dehaese, maire d’Acigné (35) ; René Delattre, maire de Miraumont (80) ; Denis Delbroucq, maire de Chamole (39) ; Cédric Delmotte, maire de Boiry-Saint-Martin (62) ; José De Pinho, maire de Cry (89) ; Anne-Sophie Descamps, maire adjointe d’Aigrefeuille-d’Aunis (17) ; Xavier Desmots, adjoint au maire de Rennes (35) ; Gilles Desnouveaux, maire de Reynel (52) ; Manuel Desvergne, maire de Saint-Laurent-de-Céris (16) ; Christophe Douge, maire de Montrevault-sur-Evre (49) ; Laurent Dubost, conseiller municipal d’Orvault (44) ; Pierre Duchêne, conseiller municipal de Saint-Arnel (35) Monique Febvre, maire d’Aubaine (21) ; Michel Feyrit, président du Siphem (Syndicat interterritorial du Pays du Haut Entre-deux-Mers, 33) ; Alain Fioux, maire de Saint-Ouen-sur-Gartempe (87) ; Etienne Fouché, maire de Clussais-la-Pommeraie (79) ; Martine Fourdraine, maire d’Ids-Saint-Roch (18) ; Alain Fournier, maire de Godenvillers (60) ; Raphaël Gagneur, maire de Molain (39) ; Olivier Gallien, maire d’Oigny (21) ; Jany Garot, maire de Voisey (52) ; Guy Gautier, maire de Plésidy (22) ; Chloé Genin, conseillère municipale de Saint-Brieuc (22) ; Stéphane Gentilhomme, maire de Fralignes (10) ; Dominique Jobard, conseillère intercommunale des Portes de l’Entre-Deux-Mer (33) ; Régis Georget, conseiller municipal de La Mézière (35) ; Laurent Gérault, vice-président de SEM Croissance verte ; Philippe Giganon, maire de Peux-et-Couffouleux (12) ; Philippe Gimbert, maire de Moulins-sur-Tardoire (16) ; Philippe Girardin, maire de Lapoutroie (68) ; Jean Giraud, maire de Saint-Priest-la-Marche (18) ; Henri Goardon, maire de Goulien (29) ; Stéphane Godard, conseiller municipal de Montataire (60) ; Jean-Louis Gonon, maire de Nuits (89) ; Jacques Gouffe, vice-président de Le Mans Métropole (72) ; Philippe Graillot, maire de Vesaignes-sous-Lafauche (52) ; Maurice Grosset, maire de Longechaux (25) ; Didier Guénin, maire de Buxières-d’Aillac (36) ; Michel Guerre, adjoint au maire de Felluns (66) ; Daniel Guillotin, conseiller municipal de Rennes (35) ; Laurent Hamon, vice-président de Rennes Métropole (35) ; Patrick Hardouin, maire de Neuville-aux-Bois (45) ; Philippe Heitz, maire de Burdignes (42) ; Gilles Herault, maire d’Ardenais (18) ; Raymond Houeix, maire de Le Cours (56) ; Didier Huchon, maire de Sèvremoine (49) ; Jean Imbert, maire de Tilly (36) ; Yves Joannes, conseiller municipal de Saint-Armel (56) ; Claude Kaiser, maire de Ménil-la-Horgne (55) ; Nicolas Karmann, maire de Manhoué (57) ; Marine Kechid, conseillère municipale de La Mézière (35) ; Jean-Michel Lafond, conseiller municipal de Bruz (35) ; Danielle Lamalle, maire de Thorey-sur-Ouche (21) ; Frédéric Le Beux, adjoint au maire de Scaër (29) (Renaud Le Berre, maire de Trédias (22) ; Francis Le Lorroux, maire de Gourgançon (51) ; Philippe Lebègue, maire de Marsangis (51) ; Francis Leclerc, maire de Reffroy (55) ; Francis Legoux, maire de Montigny-sous-Marle (02) ; Jean-Claude Lemaire, maire de Joux-la-Ville (89) ; Daniel Lenoir, maire de Villaines-la-Juhel (53) ; Bruno Létienne, maire de Ravières (89) ; Henri Letourneau, maire de Dampierre-en-Gracay (18) ; Nicole Lozano, conseillère municipale d’Aubière (63) ; Edouard Mabire, vice-président de CA Cotentin (50) ; Jean-François Mariemberg, maire d’Allondrelle-la-Malmaison (54) ; Hervé Martin, maire de Chemillé-en-Anjou (49) ; Jean-Marc Mercier, adjoint au maire de Brissac-Loire-Aubance (49) ; Laurent Meunier, maire de Frozes (86) ; Emmanuel Michel, maire de Téterchen (57) ; Thierry Mocquet, maire de Prez-sous-Lafauche (52) ; Alain Morançais, maire de Lavernat (72) ; Olivier Murat, maire d’Aisy-sur-Armançon (89) ; Yves Nicolin, maire de Roanne (42) ; Jacques Pallas, maire de Saint-Georges-sur-Arnon (36) ; Christophe Parent, maire de Montigny-en-Arrouaise (02) ; Bruno Paris, vice-président de Lorient Agglomération (56) ; Pascal Pauvrehomme, maire de Sainte-Lizaigne (36) ; Luc Pelé, conseiller intercommunal de Mauges Communauté (49) ; Luc Perrin, maire de Saint-Priest-en-Murat (03) ; Joëlle Pesme, maire de Pars-Lès-Chavanges (10) ; Pascal Petiot, maire de Courcelles-sur-Voire (10) ; Sylvain Petit-Jean, maire de Bransat (03) ; Gaëlle Pierre, adjointe au maire de Bruz (35) ; Fabrice Pigois, maire de Préveranges (18) ; Gilles Piton, maire de Mauges-sur-Loire (49) ; Michel Plat, maire d’Heudicourt (80) ; Annie Poinot-Rivière, maire de Bernay-Saint-Martin (17) ; Jean-Louis Portal, maire d’Ally (43) ; Jean-Claude Pradheilles, maire de Davenescourt (80) ; Brigitte Précigout, maire de Moulins-sur-Tardoire (16) ; Yves Prévot, maire de Vouillon (36) ; Denis Raimbault, conseiller intercommunal de Mauges Communauté (49) ; Jean-Louis Rémy, conseiller municipal de Cintegabelle (31) ; Thierry Restif, maire de Retiers (35) ; Tristan Riom, maire adjoint de Nantes (44) ; Michelle Rivet, maire de Marçais (18) ; Éric Moreau, maire de Nouans-les-Fontaines (37) ; Jean Révéreault, adjoint au maire de Mouthier-sur-Boëme (16) ; Régine Rézeau, maire de Sepmes (37) ; Yves Robin, maire de Porspoder (29) ; Thierry Romero, maire délégué de Grandvilliers (Mesnils-sur-Iton, 27) ; Jacques Rossi, maire de La Perche (18) ; Philippe Salmon, maire de Bruz (35) ; Joël Triballier, adjoint au maire de Le Cours (56) ; Johann Vacandare, adjoint au maire de Cahors (46) ; Christine Vaillant, maire de Coulours (89) ; Olivier Vitré, maire de Saint-Paul-du-Bois (49) ; Frédéric Weisz, vice-président de Dieppe Maritime (76) ; Mathieu William, maire de Cheppes-la-Prairie (51) ; Michel Zdan, maire de Grazac (31).
Sources :
Ministère de la Transition écologique – « Les chiffres clés de l’énergie – édition 2020 »
Observatoire national de la précarité énergétique – « Tableau de bord de la précarité énergétique – édition 2020 »
Jean Jouzel, climatologue, ancien Vice-Président du GIEC, sur Europe 1, le 22/07/18
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