Défi écriture, poésie
Hygiène du corps, hygiène de l’esprit, tout est bon dans ces temps de confinement , …
Inaugurons la semaine par un petit exercice de poésie !
Je vous demande de réaliser un poème en quatre vers incluant les mots suivants :
- fulgurance
- entame
- veille
- secours
Merci à tous et à vos muses toutes !
(La poésie, c’est tout un art et il est bon de s’y confronter de temps à autre pour se rendre compte des difficultés du poète, de l’importance de promouvoir les auteurs de poésie, vivants ou morts. Les œuvres qui nous sont restées ou qui sont en cours de production rendent comptent du travail de toute une vie, d’un temps suspendu à l’écart du brouhaha du monde, ses auteurs vivent souvent dans le dénuement et l’anonymat, avant la reconnaissance tardive ou l’oubli. Respect !)
Bon alors je m’y colle !! -:)
Rose, ton parfum a brusquement éclaboussé ma cour
Sa fulgurance a mordu mon âme qui veille encore
Rose, sais-tu que les souvenirs ne sont d’aucun secours
Quand le regret guette l’entame de chaque aurore.
Une chaise s’est renversée dans le pré
Fulgurance de son cri – Ses doigts entament la terre.
Elle supplie le ciel de son secours.
L’air veille et se peuple de patience
Dans sa fulgurance apparence, le jour appelle au secours, il entame un nouveau parcours, celui dans lequel il s’était déjà plongé la veille et les autres jours
Bon dimanche!
Vigilances
Ici l’aubépine sauvage traverse la grille qui veille encore
Le pas entame l’oubli des murs qui s’épierrent dans l’allée
Pierres déchirées, pierres de fatigues, pierres de patiences,
J’en appelle au secours de la fulgurance de votre beauté
Quand les nuages meurent près du ciel
Quand le vent porte vos plaintes solitaires
J’aime le simple miracle de votre existence
Pourrez-vous pardonnez à ceux qui ne savent plus regarder ?
Vigilances
Ici l’aubépine sauvage traverse la grille qui veille encore
Le pas entame l’oubli des murs qui s’épierrent dans l’allée
Pierres déchirées, pierres de fatigues, pierres de patiences,
J’en appelle au secours de la fulgurance de votre beauté
Quand les nuages meurent près du ciel
Quand le vent porte vos plaintes solitaires
J’aime le simple miracle de votre existence
Pourrez-vous pardonner à ceux qui ne savent plus regarder ?
Quand la situation entame ma raison
une lame de fond avance en fulgurance
comme une danse née du silence
envahissant mon existence,
mon cœur alors en veille
se met au diapason
déployant son amour
pour me porter secours.