Jardin Bourian Assemblée générale 26 janvier 20 h 30
Bientôt 18 ans d’existence pour ce grand jardin pédagogique : l’âge adulte ! De nouveaux projets germent et l’assemblée générale sera l’occasion de présenter les trois grands projets de 2018 : création d’un livre de recettes, gestion et valorisation de la zone humide et, en diaporama, une étude paysagère du site.
Plutôt que de parler longuement des réalisations et des bilans, l’accent sera mis sur cette étude qui revisite l’arrivée au Jardin, ses différents pôles d’attraction et met en valeur l’attrait paysager de ce lieu. Alain Freytet (dont le renom n’est plus à faire, tant ses réalisations en France sont nombreuses) a bien voulu accompagner sa fille Alice Freytet, également paysagiste, bénévole au Jardin bourian, dans cette nouvelle façon d’envisager notre jardin.
Un pot de l’amitié clôturera cette assemblée, accompagnée de quelques desserts concoctés par les bénévoles.
Salle des fêtes de Dégagnac, vendredi 26 janvier 2018 20 h 30
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Vendredi 26 janvier, il y avait foule pour l’assemblée générale des Jardiniers bourians, association créée en 2003. À l’origine, quelques bénévoles avaient souhaité apprendre aux petits urbains de la colonie de vacances Léo-Lagrange comment poussaient les légumes sous le ciel de la Bouriane… Depuis, les petits urbains sont partis mais l’esprit est resté, animé actuellement par 20 à 30 bénévoles, sous la tutelle bienveillante de la communauté de communes Cazals Salviac (subvention de 11 500 € par an). L’équipe de bénévoles pour l’année 2017 a été renforcée par : (autofinancés) un emploi en CDI de 26 heures par semaine, un contrat de service civique, un stagiaire (8 heures/semaine), un stagiaire ponctuel (15 jours) et une salariée de la communauté de communes et le soutien logistique ponctuel de la CCCS.
Les Jardiniers bourians comptent 88 adhérents. Le jardin pédagogique est ouvert toute l’année en visite libre ou guidée, accueille des classes, des groupes d’enfants et des centres de loisirs, comporte un club nature (bientôt une Maison de la nature ?) et propose des animations extérieures. Le chemin de la biodiversité, le jardin à thèmes, le verger, le jardin expérimental, et depuis peu la zone humide rue des Jardins sont autant de lieux de rencontres, d’échanges et de découvertes. Les bénévoles proposent également des manifestations dont le succès est reconnu : allées ouvertes en juin, participation à la fête des plantes, délices du jardin en août, fête de la soupe en octobre. Le prochain grand projet a été présenté par la présidente Christine Latour : l’édition d’un carnet de recettes. Et Alice Freytet a présenté la proposition bénévole commune avec son père (paysagistes) d’évolution du jardin en matière de signalisation, de stationnement, de cheminement, d’organisation générale. Le trésorier Yves Périé a présenté et fait approuver le budget 2017 et les perspectives 2018, demandant à la communauté de communes de poursuivre son aide.
La Dépêche du Midi
y a-t-il un problème d’ambroisie sur notre territoire?
Dordogne : la lutte contre l’ambroisie s’organise
Je réponds à la demande de Jevouslis. je ne suis pas au courant d’un problème avec l’ambroisie dans le Lot. Dès que je sais plus, je vous informe. Perso, je trouve cette vidéo dans le lien pas pertinente. L’ambroisie peut se manifester en grande quantité, comme l’amarante, dans les sols en déséquilibre et c’est pénible pour les agriculteurs. Pour se débarrasser dans les champs, il faut de traitements chimiques comme ils disent. Il y aura donc des sols plus mort que mort… Bon appétit pour les pois qui poussent dans des tels champs. Ils traitent apparemment depuis 10 ans. Avec quel résultat ? Ensuite, faut traiter aussi les bords de routes où on avait juste décider de laisser pousser les fleurs sauvages pour la biodiversité. Puis, les gens doivent surveiller leurs jardins. Sont-ils devenus fous ? Ils ne montrent même pas bien la plante. Un jardin en équilibre n’aura pas ce problème. A la fin de la vidéo, ils insistent sur les allergies, des problèmes d’asthme par exemple, qui explosent aussi à cause des éléments chimiques dans le sol, dans l’eau, dans l’air. L’industrie chimique a encore des beaux jours devant soi. Je regrette que la presse adore des tels sujets. Quand les gens ont fini acheter les traitement contre la pyrale de buis (ce qui sert uniquement à l’industrie), il y aura l’ambroisie… Faudrait aller le plus vite possible vers une agriculture et un jardinage durable.
Oh!!! Oh!!!! On se calme un peu et on se renseigne avant de signer des arrêtés préfectoraux qui affolent un peu.
D’abord de quelle ambroisie parle t’on ? Il y en a quelques espèces
une info récente sur Tela botanica :
http://www.tela-botanica.org/actu/article8589.html
Si vous voulez vous renseigner mieux, il faut s’inscrire sur Tela botanica : sur google, tapez simplement Tela botanica, ambroisie.
Vous allez trouver des gens compétents qui ont été les premiers à alerter sur les dangers générés par ces plantes. Bonne recherche