Blotti rue Caviale, à l’abri dans sa rue piétonne, le musée Ratier devient au fil des ans, l’un des lieux les plus visités de la ville. Ouvert fin 2012, ils sont plus de 22 000 à s’y être rendus, près de trois ans plus tard.
«On ne s’attendait pas vraiment à ce succès, avoue Pierre-Michel Decombeix, l’un des «quatre mousquetaires» des lieux, avec Bernard Bourgeois, Jacques Médal et Yves Sounillac. Personne d’ailleurs ici n’y croyait non plus. Il est vrai que le fait d’être placé dans une rue piétonne, mais surtout d’être gratuit, n’est pas étranger à sa réussite. Et l’on peut dire que les visiteurs sont dans l’ensemble assez satisfaits de ce qu’ils y découvrent. Ils restent parfois près d’une heure à discuter. Deux choses les interpellent, le contenu du musée, mais surtout le fait qu’il existe à Figeac une usine aéronautique qui fabrique des hélices. Et quand on leur dit que 80 % de la production mondiale d’hélices pour gros-porteurs est fabriquée ici, ils n’en croient pas leurs oreilles»…
«D’ailleurs, poursuit Yves Sounillac, les deux tiers des visiteurs apprennent l’existence de Ratier, grâce au musée».
Et depuis trois ans, le nombre de visiteurs augmente régulièrement : 2351 en août 2013, 3002 en août 2014 et 3461 en août 2015, soit plus de 12 % cette année. Et cela devrait continuer, car deux nouveautés sont venues garnir dernièrement le musée.
Tout d’abord, la fameuse hélice gonflable datant de 1935, que les quatre amis cherchaient depuis 15 ans, est enfin présentée, grâce au don d’une personne privée.
«Elle nous a offert également un gros lot d’archives, dont 48 photos de la voiture 6CV Ratier (notamment en course), que l’on n’avait jamais vues, et l’original du certificat d’études de Paulin Ratier», précise Bernard Bourgeois.
Deuxième nouveauté, le moyeu d’hélice de l’A400M, où s’imbriquent les huit pâles, que fabrique Ratier-Figeac. Offert par l’entreprise, c’est Pierre Beulaguet qui en a imaginé la présentation.
«En fait, ces pièces emblématiques de Ratier-Figeac, relient deux époques, c’est toute la légende Ratier», dit Yves Sounillac.
Blotti rue Caviale, à l’abri dans sa rue piétonne, le musée Ratier devient au fil des ans, l’un des lieux les plus visités de la ville. Ouvert fin 2012, ils sont plus de 22 000 à s’y être rendus, près de trois ans plus tard.
«On ne s’attendait pas vraiment à ce succès, avoue Pierre-Michel Decombeix, l’un des «quatre mousquetaires» des lieux, avec Bernard Bourgeois, Jacques Médal et Yves Sounillac. Personne d’ailleurs ici n’y croyait non plus. Il est vrai que le fait d’être placé dans une rue piétonne, mais surtout d’être gratuit, n’est pas étranger à sa réussite. Et l’on peut dire que les visiteurs sont dans l’ensemble assez satisfaits de ce qu’ils y découvrent. Ils restent parfois près d’une heure à discuter. Deux choses les interpellent, le contenu du musée, mais surtout le fait qu’il existe à Figeac une usine aéronautique qui fabrique des hélices. Et quand on leur dit que 80 % de la production mondiale d’hélices pour gros-porteurs est fabriquée ici, ils n’en croient pas leurs oreilles»…
«D’ailleurs, poursuit Yves Sounillac, les deux tiers des visiteurs apprennent l’existence de Ratier, grâce au musée».
Et depuis trois ans, le nombre de visiteurs augmente régulièrement : 2351 en août 2013, 3002 en août 2014 et 3461 en août 2015, soit plus de 12 % cette année. Et cela devrait continuer, car deux nouveautés sont venues garnir dernièrement le musée.
Tout d’abord, la fameuse hélice gonflable datant de 1935, que les quatre amis cherchaient depuis 15 ans, est enfin présentée, grâce au don d’une personne privée.
«Elle nous a offert également un gros lot d’archives, dont 48 photos de la voiture 6CV Ratier (notamment en course), que l’on n’avait jamais vues, et l’original du certificat d’études de Paulin Ratier», précise Bernard Bourgeois.
Deuxième nouveauté, le moyeu d’hélice de l’A400M, où s’imbriquent les huit pâles, que fabrique Ratier-Figeac. Offert par l’entreprise, c’est Pierre Beulaguet qui en a imaginé la présentation.
«En fait, ces pièces emblématiques de Ratier-Figeac, relient deux époques, c’est toute la légende Ratier», dit Yves Sounillac.
L'épistole jeudi, 27 mars 2025 à 12:15 dans Lot: « Quand l’histoire bégaye »Merci prinse pour ce commentaire éclairé. Je voulais également signaler ici un "film mémoire" passé au cinéma de Gourdon :
prinse mercredi, 26 mars 2025 à 16:46 dans Lot: « Quand l’histoire bégaye »Dans le style et la verve qui lui étaient propres, Winston Churchill n’a eu de cesse d’éveiller, mobiliser consciences et
Chénopode mercredi, 19 mars 2025 à 16:27 dans Un paysan boulanger à DégagnacComme dit dans l'article, le paysan boulanger ne fait du pain qu'une fois par semaine, le mardi. Un pain bio,
carpa mercredi, 19 mars 2025 à 13:00 dans Une conférencière …Très bien exprimé - et observé - Epistole! Je ne peux qu'applaudir Mme Furnemont pour sa voix posée et calme
L'épistole mardi, 18 mars 2025 à 23:03 dans Un paysan boulanger à DégagnacIntéressant ! Ce pain est livré tous les jours à la petite bouriane ?
jevouslis dimanche, 16 mars 2025 à 15:43 dans Une conférencière …je sors de la conférence Turner et je vois le monde autrement, à mes yeux tout est eau et lumière,
L'épistole samedi, 15 mars 2025 à 20:10 dans Retour sur la réunion de présentation du PLUi de la CCCSVous pouvez retrouver les éléments de présentation communiqués en réunion publique du 17 Février dernier à l'adresse suivante : https://www.cazals46.fr/pdfs/20250217_reunion_publique_plui.pdf
jevouslis vendredi, 14 mars 2025 à 14:56 dans Chapelle du Majou, épisode 2Merci pour ces articles, notre histoire a bien des soubresauts...Rien n'est jamais perdu ni gagné...
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