« Les Demoiselles de Roquefort » ou le plaisir du fou-rire retrouvé
Salle comble pour assister au spectacle de Thierry Dgim qui a pris un suprême plaisir en jouant le personnage de Mona, directrice atypique d’une crêperie à Roquefort la Bédoule, transformée à l’étage en maison close. Sa délicieuse pensionnaire Ariel est naïve et très gaffeuse, elle est source d’anxiété pour sa patronne qui cherche à garder le secret de son activité.
La préparation d’une fête dans la crêperie pour Noël et l’attente d’une nouvelle recrue vont être cause de nombreux rebondissements et de sketchs. La nouvelle n’est pas tout à fait la bombe sexy attendue et permet aux protagonistes de nombreuses réflexions sur le statut des femmes de joie et la liberté des mœurs. À l’image de ce cochon tirelire qui recueille les amendes quand une grossièreté est proférée, cette pièce à rebondissements fait rire sans vulgarité et le public est heureux de cette soirée légèrement coquine et enlevée… Des spectateurs qui dès la fin de cette comédie déjantée espéraient retrouver Thierry Dgim, Nathalie Comtat et Florence Kleinbort la saison prochaine. À suivre…
En attendant, il est temps de penser au prochain rendez-vous proposé par AVEC Pradines :
« C’est beau Ferrat » par l’Opéra éclaté
le samedi 11 février à 20h30.
Réservations sur Hello Asso AVEC Pradines ou par téléphone au 07 68 56 08 35
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