Où il est toujours question de mobilité solidaire

La proposition de loi qui a été adoptée par le Sénat très récemment a pour but de faciliter la mobilité des personnes les plus précaires dans les territoires ruraux,. En louant des voitures en bon état à un prix social .

Le texte propose un dispositif pour que les dizaines de milliers de voitures en bon état de fonctionnement et les moins polluantes envoyées à la casse dans le cadre de la prime à la conversion puissent être réemployées pour de la location sociale et solidaire.

Ce dispositif, qui permettra de repousser la destruction de véhicules de plusieurs années, se veut complémentaire de celui du gouvernement sur le leasing social de véhicules électriques qui doit débuter le 1er janvier 2024 (location d’une voiture électrique pour 100 euros par mois).

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Source : Vie Publique

Ces avancées si elles sont confirmées par le vote des députés viennent directement impacter positivement les plateformes de mobilités .

Née de la loi LOM de 2019 et qui a pour objectif des transports du quotidien à la fois plus faciles, moins coûteux et plus propres, ces plateformes de mobilité facilitent l’accès des plus fragiles à une mobilité autonome, fédèrent les services et les initiatives de mobilité de proximité et constituent un formidable outil au service de la mobilité solidaire.

Ainsi sont-elles des dispositifs d’animation et de coopération au service de tous les acteurs concernés au plan local (collectivités, acteurs de l’emploi, de l’insertion, de la mobilité, associations, employeurs…). Cette année le labo a recensé 221 plateformes de mobilité dans l’hexagone. Sur notre département la plateforme solidaire se situe à Cahors et n’est pas ouverte au grand public, mais travaille principalement avec les acteurs du territoire (prescripteur, opérateurs, financeurs . Elle anime et coordonne ainsi un réseau d’acteurs afin de répondre aux différents besoins de mobilité solidaire de notre territoire. . ,,