Peyrilles village hanté
Peyrilles est un village accueillant avec son château, ses petites places à l’écart de la route et ses maisons d’autrefois. Lundi le village paraissait plein de dangers, les maisons faiblement éclairées, laissaient entrevoir des scènes abominables, vampires, monstres, survivants, fous dangereux…
Beaucoup d’enfants parcouraient le village, inconscients du péril.
Sylvie Juarez avait regroupé les habitants du village pour qu’ensemble, ils fassent une fête pour les enfants de l’école.
Chaque habitant avait transformé son habitation, en un lieu inquiétant voire effrayant, ici Dracula sortait de son cercueil, là Quasimodo prenait vie à la lecture de son histoire, il y a aussi Harley Quinn qui devient aussi folle que Joker, ailleurs un elfe chasse le fauve etc…
Les enfants se sont promenés parmi ces maisons où il se passait des événements étranges.
Les terrifiants habitants, leur donnaient des bonbons, qui étaient acceptés « sans crainte » par les enfants.
La soirée s’est terminée dans la grange ou la descendante de la Sorcière Sansel leur a raconté une histoire de famille.
Sylvie juarez, ce soir de Halloween, a réussi son pari: une école de village ce n’est pas seulement une bâtisse avec une cour de récré, c’est surtout des enfants d’ici avec leur instituteur qui vivent et qui échangent avec les habitants des villages, qui connaissent les ruelles et les maisons, et où chaque jour, ils échangent avec les poules qui se baladent partout et les ânes qui aiment tant la compagnie, ils apprennent et ils jouent dans le prés d’à côté et le jardin maraîcher, ils sont chez eux.
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super soirée bien organisée comme chaque années,merci aux bénévoles, les enfants des écoles du RPI, et l’imagination à fait le reste…..
Super soirée et super ambiance !
Félicitation à Sylvie et à tous les bénévoles pour le temps consacré à la préparation de cet événement. Vraiment une réussite et très bien organisé.
Bravo !
Oui, c’est ça une école de village, elle est enracinée dans son territoire, ce n’est pas une école hors-sol. Les enfants se sont approprié leur terre, les enfants et les habitants sont du même terrain dans une relation d’échange. A l’école, il y a des petits anglais, ce sont des boutures, ils s’enracinent parce que les autres sont enracinés. Gardons nos écoles de village