Revue de presse…

Le département espère répondre ainsi au défi du renouvellement des générations ( 1 agriculteur 2 partira à la retraite d’ici 2030, et seules 2 exploitations sur 3 trouvent repreneurs. Le manque de candidats et l’accès difficile au foncier sont des préoccupations majeures. Le département souhaite acheter des terrains pour prévenir l’enfrichement, limiter les incendies et faciliter l’installation de jeunes agriculteurs.

C’est aussi un moyen de contrer l’intérêt croissant des grands groupes industriels pour l’achat de terres à des fins de compensation carbone.

Enfin cette politique foncière adaptée permettrait de soutenir le maraîchage et d’assurer des contrats à long terme avec les agriculteurs, garantissant ainsi leur stabilité économique et des contrats pour l’approvisionnement des collèges et Ephad (dans le cadre du Plan Alimentaire Territorial) .

Avec un budget entre 200 et 220 mille euros par an le département pourra racheter une terre sous réserve qu’elle soit en vente, inexploitée et ne trouve pas de repreneur. Il s’agit de ventes proposées par la Safer avec un prix estimé par cette dernière.

Le département restera propriétaire de la surface, les agriculteurs payeront un loyer via des baux de carrière.

La dépêche du midi

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Aléas climatiques, gel, mildiou, inflation, marché international , notamment aux États-Unis, saturé ont décidé . Bertrand Vigouroux, PDG de l’entreprise, de se mettre volontairement sous la protection du tribunal de commerce pour assurer la continuité de ses activités et des emplois.

Les vignobles de Haute-Serre et Mercuès sont concernées par cette procédure, mais les restaurants et hôtels de l’entreprise ne le sont pas. Le groupe prévoit des licenciements économiques et une période d’observation jusqu’en 2025.

Une nouvelle nouvelle stratégie est en développement pour réduire les coûts, notamment en arrachant 30 hectares de vignes et en se concentrant sur des produits haut de gamme et sur de nouveaux marchés, comme les vins sans alcool et frais.

Adapter le modèle commercial pour surmonter cette crise tout en maintenant l’enracinement local.

La dépêche du midi

Il a notamment alerté la ministre de l’agriculture sur la crise de la filière noix due au gel, provoquant des pertes allant jusqu’à 90 % de la production.

Il se mobilise également contre les coupes budgétaires de La Poste, qui affectent les services publics dans les zones rurales.

Il a demandé des mesures pour améliorer l’accès aux transports en milieu rural, soulignant leur importance pour l’emploi des jeunes.

En matière de santé, il appelle à une revalorisation des infirmiers pour lutter contre les déserts médicaux.

Il s’inquiète également des difficultés des collectivités à s’assurer face aux aléas climatiques et défend les droits des agriculteurs retraités ayant été élus locaux.

Le sénateur a réaffirmé son opposition à toute réduction des moyens des collectivités locales, alors que le budget de l’État est en cours d’examen.

Medialot

Ils étaient nombreux à la réunion du 4 Octobre à Prayssac . Ce fut l’occasion pour de nombreuses associations de prendre la parole

Critique de la production excessive d’énergie, même renouvelable, et promotion de la réduction de la consommation, l’’association l’Appel de la forêt, a remis en question l’idée de produire plus d’énergie que nécessaire, soulignant que toute production reste polluante, et a proposé de diminuer les besoins énergétiques.

AELC, Tolerme Nature, et le Collectif Citoyen Lotois, ont dénoncé des projets locaux qu’ils jugent nuisibles : parcs photovoltaïques sur des terres agricoles, développement touristique non durable, coupes rases de forêts, et installations industrielles. Les Faucheurs Volontaires et Vigilances OGM 46 ont, quant à eux, exprimé leur opposition aux OGM et défendu une traçabilité claire pour les consommateurs.

Coupes rases des forêts, qui détruisent la biodiversité et compactent les sols, La Confédération Paysanne a rappelé l’importance d’une agriculture durable qui respecte la terre et la biodiversité.

Deux carrières près de Prayssac sont actuellement vivement critiquées par des associations locales. Les Amis du Rieutor s’efforcent de protéger une zone naturelle située à Saint-Denis-Catus entre deux ruisseaux et l’Association pour la Préservation des Sites Menacés en Bouriane (APSMB) qui lutte contre l’exploitation d’une zone naturelle riche en sable et quartz et exploitée en carrière.

Actulot

1 000 mains à la pâte, 250 bénévoles, intendance comprise, venus de tout le territoire, de Montauban, de Toulouse… et même des USA, se sont mobilisés le 5 Octobre dernier sur le GR65, entre Limogne et Cieurac.. 34 équipes, 14 chantiers et des mètres de murets restaurés l

Deux équipes télés se sont également déplacées, et notamment une équipe de reportage pour « Échappées belles » qui prépare une émission sur le Quercy et qui devrait être diffusée le 7 décembre.

La dépêche du Midi