Salon de l’agriculture du 23 février au 3 mars
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Hall 1 allée C, le plus visité du salon, le stand du Lot sera cette année plus visible, ouvert sur ses 4 faces. Si contrairement à l’an dernier, la vache sera absente pour des raisons techniques, les porcs, deux chèvres et les brebis avec leurs agneaux seront toujours présents au sein de la mini-ferme qui fait le bonheur des visiteurs. Et les produits du Lot tiendront une bonne place !
Ils seront à l’honneur notamment grâce aux journées thématiques, qui permettront de faire découvrir les produits tous les jours par le biais d’animations et de dégustations. Au programme les 26 et 28 février 2019 l’agneau IGP du Quercy, les 24 et 25 février 2019 le porc au grain du sud-ouest, le samedi 23 février la filière gras, les 1er et 2 mars la noix du Quercy, les 27 février et 1er mars les produits Bienvenue à la ferme, mais aussi tout au long de la semaine le Rocamadour, les laits, fromages et yaourts de Cantaveylot, le safran du Quercy, les vins…
Montrer qu’on vit bien dans le Lot
Le stand cette année sera placé sous la bannière « Oh My Lot ! », qui permet à des ambassadeurs du département de faire découvrir le Lot et son art de vivre. Ainsi, tous les jours à 9 h 46, 11 h 46 et 15 h 46, les quiz « Oh my Lot ! » permettront d’en savoir plus sur le Lot et ses merveilles, avec des thématiques différentes chaque jour : élevage et paysages les samedi 23 et dimanche 24 février, manger lotois les lundi 25 et mardi 26 février, vivre et travailler dans le Lot les mercredi 27 et jeudi 28 février et « venir quelques jours venir toujours » les vendredi 1er et samedi 2 mars. Des ambassadeurs viendront donner leur témoignage de la vie dans le Lot et à la fin de chaque quiz, les participants pourront déguster des produits lotois et repartir avec des souvenirs du Lot…
Parmi les ambassadeurs annoncés, le président de la Transhumance Rocamadour-Luzech, Jean-Louis Issaly, sera présent les 23 et 24 février, Serge Conquet, chef cuisinier du collège Gambetta à Cahors, viendra parler gastronomie mardi 26 février, Jean-Luc Verines, producteurs de pruneaux, melons et céréales, viendra les 26 et 27 février, tout comme Christophe Charbogne, restaurateur à Cajarc, présent le 25 février et Jean-Baptiste Rouquié, éleveur et vigneron, le 28 février. Camille Joly, jeune bergère en cours d’installation ovine, partagera son expérience jeudi 28 février, tout comme Céline Lanoux, Parisienne qui a ouvert des chambres d’hôtes dans le Lot, qui sera sur le stand les 1er et 2 mars.
Mercredi 27 février, ce sera la journée lotoise, avec la présence d’élus et de personnalités du Lot sur le stand. La journée se terminera par un apéritif avec les Lotois de Paris et des Parisiens amoureux du Lot, afin qu’ils créent un noyau d’ambassadeurs du département dans la capitale.
Concours général agricole
Cette année, ce sont 76 producteurs qui sont inscrits pour participer au Concours général agricole. Parmi eux, 37 sont vignerons et 39 producteurs (fromage, charcuterie, bière, viande, safran, huile de noix et palmipèdes gras) et tenteront de revenir avec une médaille.
« L’an dernier, a eu lieu une véritable moisson de médailles au concours général agricole, souligne avec fierté Serge Rigal, président du Conseil départemental. Cette année encore, je suis serein quant à la qualité de nos produits ».
Résultats à la fin du Salon de l’agriculture.
Appel aux Lotois de Paris
Les Lotois de Paris sont appelés à se manifester pour récréer un réseau d’amoureux du Lot vivant à la capitale. Les 50 premiers à se manifester seront invités mercredi 27 février 2019 au salon de l’agriculture sur le stand du Lot, et ils seront peut-être amenés à se retrouver pour une manifestation autour des Lotois de Paris en septembre 2019. Pour en savoir plus et se faire connaître comme Lotois de Paris, contact par mail à « attractivite-departement@lot.fr ».
Emmanuel Macron semble bien conscient de la problématique foncière : « on sait ce qui bloque aujourd’hui, c’est l’accès à la terre agricole. Nous prendrons des mesures fortes pour faciliter l’accès au foncier pour les jeunes agriculteurs, nous les prendrons d’abord dans le cadre d’une loi foncière à venir », a-t-il déclaré au salon.
Discours d’Emmanuel Macron au salon de l’agriculture
A l’issue d’une compétition, très disputée, Arthur Boulet du CFAA du Lot est le Meilleur Jeune Berger de France 2019. Maîtrise de soi, ténacité, force, rapidité, combativité, technicité, motivation… sont les qualités nécessaires pour remporter les Ovinpiades des Jeunes Bergers.
A la tête du classement, il est rejoint par Baptiste Poillot, lycée agricole des Fontaines (71) et Kévin Sicard, Lycée Agricole de Melle (79), classés respectivement 2e et 3e.
Parmi les dix premiers du classement national, on retrouve quatre Lotois : Arthur Boulet, Thibaut Vedrune du lycée de La Vinadie à Figeac (7e), Sébastien chabert du CFAA du Lot (8e) et Nicolas Delbos du lycée de La Vinadie à Figeac (9e).
Le prix spécial – Section Europe revient à Rémy Roux du CFAA du Lot.
Pour cette 14e édition de la finale nationale des Ovinpiades, organisée samedi 24 février 2019 sur le salon de l’agriculture à Paris, près de 100 établissements agricoles ont présenté des candidats aux 19 sélections territoriales de l’automne 2018 – hiver 2019. Au total plus de 750 élèves, âgés de 16 à 24 ans suivant une formation agricole (CAPA au BTS) se sont disputés une place pour la finale nationale.
38 jeunes bergers dont 5 filles sont venus conquérir le titre national
A l’issue des sélections régionales, 38 jeunes bergers dont 5 filles sont venus conquérir le titre national de Meilleur Jeune Berger, ce samedi 23 février 2019, au Salon International de l’Agriculture, Porte de Versailles à Paris.
Confrontés aux mêmes difficultés que la France en matière de renouvellement des générations d’éleveurs de brebis, la Belgique et l’Autriche sont venus avec 4 candidats disputer le prix spécial – section Europe. L’objectif de cette invitation est de créer un réseau de la formation agricole pour favoriser les échanges entre les jeunes et l’installation de futurs éleveurs de brebis.
Pour cela, les candidats ont dû se soumettre à des épreuves alliant théorie et pratique : l’évaluation de l’état d’engraissement et poids d’agneaux de boucherie, le choix d’un bélier, le parage des onglons, le tri de brebis avec lecture de boucles électroniques, la manipulation et l’évaluation de l’état corporel, le quiz et la reconnaissance des races.
Une agriculture de conservation des sols semble possible sans glyphosate, contrairement à ce qu’a soutenu une agricultrice-formatrice lors du débat après le film de F. Stuck sur les vers de terre.
https://reporterre.net/Le-paysan-chercheur-Felix-Noblia-invente-l-agriculture-sans-pesticides-et-sans?var_mode=calcul&utm_source=actus_lilo
Une vidéo introductive au mouvement ‘Pour une autre PAC’ . Dans le style des livres ‘ …pour les nuls’ . 12 vidéos avec reportage sont a consulter sur la plateforme. Pédagogique et drôle, utile et concret….
https://m.youtube.com/watch?v=d_BJu6f9Fkw